Rongé par le mal qui me traque toujours
J’essaye de m’exposer au grand soleil, si brillant
Espérant être, souhaitant vivre, me confiant aux jours
Pour me briser le silence, pour me sillonner le temps !!!
Ma vie, un long chemin de défaites, de désespoir
En qui vais-je faire confiance, sur qui vais-je compter
Sur moi-même, j’espère garder confiance, ainsi savoir
Si vraiment fort je suis, si vraiment fort je vais rester !!!
Les jours passent, mais mon passé est encore présent
Me faisant souffrir a chaque instant, en ce moment !!!
Mon destin, si inconnu, puis-je le savoir, et ainsi savoir
Si c’était pour moi, créée pour être le souffrant !!!
Si c’était, pourquoi se demander si je le sais déjà ?
Mon destin, a dieu reviendra, alors dieu décidera
Vivre le soufrant, vivre le changeant ici et là
Ayant la foi, je vais continuer, jamais je regretterai !!!
Et si c’était moi, depuis le début, créateur du soi
Un soi qui n’a jamais pu trouver le bonheur
Essayant de le chercher ailleurs, et si c’était en moi
Jamais je vais me pardonner d’avoir rater la saveur
Du grand bonheur, vivant les malheurs, cachant les lueurs
D’un grand soleil, si brillant, je somnole en gardant espoir,
Je cherche au fond de moi, essayant de me rappeler l’histoire
D’un petit garçons sur qui jamais on a pu voir
Un signe de malheur, une bavure de désespoir
Un petit garçon qui n’a pas pu savoir quand as-t-il sauté
La muraille éblouissante de l’enfance, l’éclat de l’innocence
Et si c’était moi, depuis le début, qui cherche le désespoir
Je ne m’arrêterais pas là, je ne regretterais pas toute une vie
Que dieu si clément m’a accordé, pour vivre, être et avoir
Prendre le bien, laisser le mal, et savourer la belle vie !!!
1 commentaire:
Ne sois pas esclave de ton petit monde,
Tu sais quoi, parfois on dit le contraire de ce que l’on pense,
Espoir désespoir, c’est un vrai cercle vicieux, aie le courage de t’en sortir, tu arriveras inchallah.
« On n'est jamais aussi seul que lorsqu'on est sans espoir. Surtout lorsqu'on n'a plus d'espoir de pouvoir rompre le cercle de sa solitude » [Marc-André Poissant]
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