dimanche 31 décembre 2006

Mes Souvenirs...



A la fin d’une longue journée de rodage et de galère,


Je rentre chez moi, étouffant les heures et crevant les moments...


J’essaye de me rappeler des jours que jamais je n’ai pu avoir...


Je m’alite sur mes pensées, espérant ne pas cauchemarder ce soir,


Toute une vie, j’essaye de trouver ma lune, brillante et éclatante,


Que je pleure toute les nuits, des larmes rougis de mon sang...


Mes pensées rodent, parcourent les terres, survolent les ères,


Recherchant le moment perdu, d’une vie disparue, d’un être oublié,


Un moment qui m’a échappé, qui m’a été volé, que guère je ne peux retrouver...


Le présent coule, tel un ruisseau d’eau douce, hormis, mon passé m’envahit,


En chaque moment, en tout instant, me hante les jours et les nuits...


Mon cœur trouble, accablé par le labeur et le chagrin,


La sagesse me trahit, mon âme pleure les jours qui furent,


Les jours qui sont et les jours qui seront, dans l’ombre jusqu'à la fin de la vie,


Jusqu'à la dernière étoile qui luis, brumes et nuages, noyés dans l’obscurité...


L’avidité de l’agonie me fait mourir tant de fois, qu’il me semble indécent de continuer...


L’au-delà, m’est très proche, la mort m’est trop habituelle, les étoiles me manquent...


La solitude et l’ombre jaillissent dans mon esprit, ma vie est courte, hélas !!!


La longueur de mes journées étouffe mes souffles, oppresse mes pensées...


La vie est un mal dont on a parfois du mal à guérir, mourir ne signifie rien,


Commence donc par vivre, c’est moins drôle et c’est plus long,


On dit qu’on est bien peu de chose, et là encore on exagère...

Je cherche la consolation, les nuits sont fragiles, ne peuvent guère me secourir...


A l’aube, je somnole, une lueur éclaire mes pensées, brille dans mon esprit,


C’est ainsi que, que je me suis dit, qu’il ya encore de l’espoir dans le temps,


A chaque chemin de désespoir il ya une fin, et après chaque nuit,


Une journée rayonne et écrase l’obscurité et la noirceur de toute pensée.

mardi 19 décembre 2006

Maman


Maman, c’est toi, la plus belle du monde !!!
Crois-moi, sans toi, rien n’importe en ce monde,
Toujours à coté, jamais de coté, un grand coeur
Amour et tendresse, charme et gentillesse, bras grands ouverts.


Tes mots quand je suis furieux, tes câlins quand je suis heureux
Jamais tu ne t’en lasse de consoler ma tristesse, d’apaiser ma peine
Première à se réveiller, dernière à s’endormir, Oô Maman !!!
Tant chanceux que je suis, de pouvoir sentir ta tendresse.


Malade, je m’endors et tu t’éveille, à mes cotés
Tes mots me chauffent le coeur, tes larmes me refroidissent le corps,
Ton âme me tiens compagnie, tes conseils m’illuminent la vie,
Tes prières me montrent les lueurs de l’espoir, la voie du bonheur.


Généreuse en donnant, mesquine pour prendre,
Inquiète en mon absence, heureuse en ma présence
Toujours souriante, ton visage reflète l’innocence
D’un être paradisiaque, d’un ange divin, d’une fée céleste.


Pour toi, je ferai n’importe quoi, je réinventerai le monde
Pour qu’il soit plein d’amour et de tendresse, comme ton coeur,
J’attraperai la lune pour qu’elle brille à jamais au fond de tes yeux,
Je sèmerai les fleurs pour qu’elle soit aussi belle que toi maman.


Mais jamais je n’arriverai, à te rendre un petit peu de ce que tu mérite
Toi qui m’as mis au monde, toi qui m’as fait aimer le gout de la vie
Tu es la plus gentille pour moi, et ce sera toujours comme ca
A toi Maman, du fond de mon coeur, je dis, JE T’AIME !!!


Que Dieu Te Préserve Pour Nous Maman !!!